senza dubbio, da ricercare nel desiderio più o meno cosciente degli
Europei, d’immaginare il continente americano, al momento della
conquista, come pressochè inabitato, o meglio, popolato solo da selvaggi,
il cui sterminio non avrebbe dovuto considerarsi come un crimine troppo
grande. Uno dei primi francesi che viene a contatto con il Nuovo Mondo in
generale, e con la civiltà Azteca in particolare, non poteva che essere un
francescano ( conosciamo tutti il ruolo che i religiosi hanno rivestito nel
Medioevo come custodi prima, e successivamente come divulgatori della
cultura ): il suo nome è André Thévet. Egli è ritenuto da Édouard de
Jonghe l’autore di un manoscritto intitolato: « Histoyre du Méchique ». «
André Thévet, né à Angoulême en 1502, prit assez jeune l’habit des
franciscains; sa vocation de collectionneur et de voyageur s’affirma
également très tôt. Après avoir bourlingué durant dix-sept ans en Orient, il
s’embarqua pour le Brésil en 1554 comme aumônier du vice-amiral de
Bretagne, Villegaignon. Revenu en France en 1556...protégé du cardinal de
Lorraine et de l’archevêque de Sens, il est nommé aumônier de la reine
Catherine de Médicis et historiographe et cosmographe du roi Henri II
1
».
E’ a questo titolo che egli ebbe in suo possesso il famoso Codex Mendoza
che porta in alto del folio 2 la menzione « A. Thévet cosmographe du Roy
». Una tradizione, non controllata, racconta che il prezioso manoscritto
1
Christian Duverger, L’origine des Aztèques, Seuil, Paris, 1983, p. 36.
inizialmente destinato a Charles Quint pervenne al re di Francia perché
delle navi corsare francesi assalirono la caravella spagnola che lo
trasportava. Più tardi Thévet lavorerà alla redazione della sua opera
maggiore, « La Cosmographie Universelle », che verrà pubblicata a Parigi
nel 1575. « Le manuscrit de l’Histoyre du Méchique est selon toute
vraisemblance le brouillon d’un texte travaillé en vue d’être inséré dans la
Cosmographie universelle; il présente cette particularité d’être une
traduction rémaniée afin de ne plus apparaître comme telle.
Incontestablement, Thévet a sous les yeux un original en espagnol, peut-
être même accompagné d’éléments pictographiques. Mais il ne se contente
pas de le traduire, il l’adapte et le personnalise avec le désir manifeste d’en
apparaître comme l’auteur véritable
2
». Ed è molto probabilmente, proprio
il Codex Mendoza a rappresentare la fonte da cui attingerà notizie un
grande umanista del XVI secolo: Michel de Montaigne. Sarà lui, infatti a
parlare per primo in Francia degli usi e costumi di quelli che considerava
gli abitanti delle Indie occidentali. E lo farà non soltanto per metterne in
evidenza le istituzioni « qu’il ne considère nullement comme barbares
3
»,
ma soprattutto per il desiderio di denuncia e di protesta contro la crudeltà e
l’inutilità della tortura, nonché contro la barbarie dei colonizzatori
2
Ibid., p. 36.
3
Henri Stierlin, L’art Aztèque et ses origines, Seuil, Paris, 1982, p. 9.
spagnoli: « ne trouvant poinct apres cette victoire tout l’or qu’ils s’estoient
promis, apres avoir tout remué et tout fouillé, se mirent à en chercher des
nouvelles par les plus aspres geines dequoy ils se peurent adviser, sur les
prisonniers qu’ils tenoient...ou autrefois, ils mirent brusler, en mesme feu,
quatre cens soixante hommes tous vifs, prisonniers de guerre simplement.
Nous tenons d’eux-mesmes ces narrations, car ils ne les advouent pas
seulement, ils s’en ventent...Seroit-ce pour tesmoignage de leur justice ou
zele envers la religion ? Certes, ce sont voyes trop diverses et ennemies
d’une si saincte fin
4
». Montaigne, cioè, sottolinea che, se gli Spagnoli
avessero voluto estendere la loro fede a quei popoli, avrebbero dovuto
farlo, tenendo in considerazione il fatto che la religione non si amplifica
col possesso di terre o dell’oro, ma attraverso la conquista della loro anima.
Dopo Montaigne, il contatto della cultura francese con la civiltà
mesoamericana si allenta per qualche secolo, per ricomparire sempre in
letteratura, in modo quasi impercettibile in Bernardin de Saint Pierre, ma
soprattutto in François-René-Auguste Chateaubriand. Nel 1791,
Chateaubriand « s’embarqua pou l’Amérique, visita les États-Unis, le
Labrador, la région des Lacs, les prairies du Centre, la Lousiane, la Floride,
dont la beauté sauvage et luxuriante le séduisit. L’idée lui vint d’y placer
l’épopée de l’homme primitif, qu’il peignit dans Les Natchez, publiés en
4
Michel de Montaigne, Les Essais,Presses Universitaires de France, Paris, 1965, Livre III, pp. 912-913.
1823
5
». Prendendo spunto da Rousseau, Chateaubriand oppone la vita
degli uomini primitivi a quella degli uomini civilizzati per trarne, come
conclusione, che « la vie naturelle, loin de toute influence politique ou
sociale, rend l’âme vertueuse, la préservant du vice et du malheur
6
». E’
evidente, però, che la letteratura non può che fornire un’immagine
incompleta ed idealistica della vita di un popolo. « Pour penser
l’Amérique, comme le reste du monde non européen, l’Europe classique a
recours à l’opposition conceptuelle qui sépare le monde civilisé du monde
sauvage. C’est le moyen qu’elle a trouvé pour traduire en termes de
connaissance les nouveaux espaces découverts depuis la Renaissance, les
nouvelles humanités, enfin ce monde qui présente la triple étrangeté de
n’être ni européen, ni chrétien, ni national: un monde « sauvage », décrit
et inventorié par les voyageurs, non par les historiens, et caractérisé par la
seule appropriation d’un espace, non par la possession d’un passé. Sans
lois, sans arts, sans gouvernements, bref sans histoire...Le malheur du
sauvage ne peut être qu’un retard. C’est le cas, lorsqu’en apportant au
lecteur les moeurs de populations lointaines, le voyageur ne cherche pas
seulement à vulgariser le pittoresque de la différence, mais ramène de
l’espace contemporain une image du passé: le sauvage, c’est l’enfance de
5
Concetta Ferrara, Questionnaire de Littérature Française, Remo Sandron, Firenze, 1987, p. 46.
6
Ibid., p. 47.
l’homme
7
». Ma in Francia, attraverso il sentimento «...anti-anglais,
l’émergence des treizes colonies au rang de nation brise à jamais l’image
d’un continent sauvage, en l’intégrant à l’histoire de l’Europe, c’est-à-dire
à l’histoire tout court...Or, c’est cette image fondamentale d’ordre naturel
devenu ordre historique, donc d’une histoire pour une fois transparente à la
nature, que la jeune nation américaine va incarner pour l’opinion éclairée
du XVIIIème siècle et plus spécialement, en fonction des circonstances de
l’alliance, pour l’opinion française
8
». E’ stato necessario che l’America
uscisse dal racconto del « voyage », dall’inventario dello spazio per
accedere alla dignità del temporale, cioè, per entrare a far parte della
storia. « Les récits de la guerre d’Amérique se sont, en France, multipliés
d’autant plus que la participation française, et l’issue victorieuse du conflit,
offraient à l’amour-propre national une revanche sur l’Angleterre et sur le
traité de 1763: il existe à ce niveau élémentaire une identification
provisoire de l’histoire de France avec celle des treizes colonies...les
grandes batailles militaires sont en place très tôt dans l’historiographie
française: il y a un fonds commun de souvenirs qui s’élabore à cette
époque comme matériau proprement historique, et qui efface
complètement la période antérieure de la complicité franco-indienne contre
7
François Furet, De l’homme sauvage à l’homme historique: l’expérience américaine dans la culture
française., in « Annales », 33, n4, 1978, p. 729.
8
Ibid., p. 731.
les colons américains. Plus encore qu’à la victoire militaire, ou la revanche
anti-anglaise, ce fonds commun s’alimente à des idées philosophiques:
l’indépendance américaine incarne pour l’opinion cultivée, en France, une
société et un État de substitution...recours imaginaire contre ce qu’on
appellera bientôt l’Ancien Régime, et faute de pouvoir le détruire, ou le
transformer
9
». Ora c’è però da chiedersi che ruolo ha avuto e può avere in
questa storia « heureuse » l’Indiano, uno dei due esclusi ( l’altro è il Nero
), di questa nuova società ? « L’Indien, lui, joue un rôle ambigu mais
fondamental. D’une part, comme être primitif, non encore corrompu par la
civilisation, il étend la bénédiction de la nature sur les colons...Pourtant
l’Indien, s’il échappe à la corruption européenne, incarne une société
inférieure à celle des colons: société fragile, peu éclairée, fondée sur la
chasse, ignorant la culture des terres, les arts et les sciences. L’Europe,
c’est l’histoire sans la nature. L’Indien, c’est la nature sans l’histoire. Seul
l’Américain réconcilie les deux principes
10
». La Rivoluzione Francese
pone, però, termine al « rêve américain ». A partire dal 1789, i Francesi
hanno il loro sogno, che rende inutile ogni altro possibile sostituto. Essi
sono ormai, narcisisticamente, affascinati dalla loro storia. Ma la strada
verso il Nuovo Mondo è aperta. Ed ecco che, il mondo degli Indiani e
9
Ibid., pp. 731-732.
10
Ibid., p. 734.
quello dei loro progenitori, i Maya e gli Aztechi affiorano nella storiografia
francese, anche se si deve aspettare più di un secolo. « En étudiant les
Lacandons, j’ai dû forcément remonter aux Mayas, leurs ancêtres, plus
tard, c’est la civilisation aztèque qui m’attiré par la fascination qu’exercent
son art, sa langue, son organisation sociale et politique, sa pensée mythique
et théologique
11
». Così Jacques Soustelle, uno dei più grandi etnografi
francesi, spiega la ragione del suo avvicinamento alla storia del popolo
azteco. Ed aggiunge: « Comment doser la part d’une inclination innée,
de l’education, du hasard, dans l’orientation que prend une vie ? Pour moi,
aussi haut que remontent mes souvenirs, j’ai toujours passionnément
souhaité connaître des pays et surtout des hommes lointains. Cette curiosité
ne m’a pas quitté
12
». Alla base dei suoi studi, perciò, vi è anche la curiosità
di conoscere civiltà e popoli lontani, una molla esplosiva che lo ha portato
a dedicare tutta una vita allo studio delle Civiltà Mesoamericane, e di
quella Messicana in particolare. Per lui, dunque, la curiosità è ciò che fa
vivere l’etnografo. Ma, precisa, il suo impulso dev’essere molto forte, per
permettere di superare « les mille obstacles mesquins et irritants que le
chercheur rencontre sur sa route
13
». Sicuramente, afferma l’etnologo
francese, la ricerca ha sempre qualcosa di avventuroso che non è senza
11
Jacques Soustelle, Les quatre soleils, Paris, Plon, 1967, p. 229.
12
Ibid., p. 15.
13
Ibid., p. 15.
seduzione. « Mais c’est la curiosité qui sauve, et c’est son objet qui
compte: à savoir cet homme vers qui on est allé au prix de mille peines
dans l’espoir peut-être vain d’apprendre de lui, ou par lui, quelque chose
sur nous-mêmes
14
». La conoscenza di altre culture e di altre civiltà, di
uomini lontani e diversi da noi, quindi, come mezzo per meglio conoscere
noi stessi. Ed ecco che il fantasma della letteratura, che sembra aleggiare
sempre sulla storia che del Mexico ci forniscono gli storiografi francesi,
riappare. Così, ad esempio, Georges Baudot, dedicandosi allo studio e
alla traduzione di testi e poemi in lingua nahuatl ( la lingua degli Aztechi )
non può fare a meno di notare la somiglianza nei temi trattati e nel modo di
essere trattati, tra alcuni poemi aztechi e le opere di alcuni poeti francesi
del Medioevo: « Je songe, en particulier, pour tenter de préciser cette
sensation, qu’exhale la lecture simultanée des poèmes de Teoxinmac, de
Tecayehuatzin ou d’Ayocuan Cuetzpaltzin que je propose à la suite et celle
de François Villon ou de Rutebeuf
15
». Georges Baudot cerca quasi di
creare, per mezzo di analogie liriche, un ponte che possa collegare la
civiltà francese e quella messicana. «...l’omniprésence menaçante de la
mort, l’angoissante incertitude que proposent les perspectives de l’au-delà,
la nostalgie lancinante des êtres chers qui sont partis semblent hanter d’un
14
Ibid., p. 16.
15
Jacqueline de - Durand-Forest Georges Baudot, La quête du cinquième soleil, L’Harmattan, Paris,
1995, p. 41.
même souffle un lyrisme bien proche et répercuter le même écho et le
même reflet à travers les alchimies verbales différentes de français et
mexicains. Evidemment on pourrait poursuivre et cataloguer toutes les
formulations d’une inspiration commune ou d’un recours à des thèmes
souvent identiques. Nous le suggérons tout simplement, car il serait vain de
vouloir à tout prix rapprocher des messages et des énoncés que trop de
distances séparent en ce XVème siècle qui leur est pourtant commun
16
».
Un leitmotiv conduttore, quello dell’ispirazione comune, che sembra
illustrare pienamente questa frase che Jacques Soustelle aveva inserito
nella prefazione del primo libro di Baudot stesso: « Il est émouvant de
penser des hommes aussi éloignés de nous dans l’espace et le temps, aussi
étrangers à nous par leur histoire, leurs croyances et leurs dieux, puissent
encore aujourd’hui parler à notre imagination et à notre coeur: preuve
supplémentaire, s’il en était besoin, de la fondamentale unité de notre
espèce sous la diversité multicolore des ethnies et des cultures
17
». Secondo
Jacques Soustelle, sarebbe, cioè, necessaria una etnologia ideale e perfetta
in grado di fare la sintesi di tutte le attività dell’uomo, di tutte le culture, di
tutte le epoche ed in tutti i paesi...ma, si è ancora lontani da un tale ideale.
« Il est inévitable que chacun s’attache de préférence à une certaine série
16
Ibid., p. 56.
17
Georges Baudot, Les lettres précolombiennes, Toulouse, Privat, 1975, p. 9.
de cultures, à un continent ou à une région. La grande faiblesse des
synthèses à l’échelle mondiale réside en ceci, que leurs auteurs les ont
construites en s’appuyant sur la connaissance approfondie qu’ils avaient
d’une, deux ou trois civilisations, et que pour le reste ils ont dû se
contenter de lectures plus superficielles
18
». Quando era bambino, Soustelle
passava intere giornate a leggere i libri che un vicino, amico di famiglia,
gli lasciava prendere nella sua biblioteca. Era un vero tesoro che gli si
apriva davanti, fatto di libri d’avventura e di viaggi, racconti di scoperte,
descrizioni di usi e costumi insoliti. Dalla semplice curiosità di bambino,
Jacques Soustelle passò, ben presto, allo studio delle scienze dell’uomo, e
soprattutto, venne a contatto con due grandi eruditi quali Marcel Mauss
prima, e l’etnologo americanista Paul Rivet successivamente. In particolare
quest’ultimo eserciterà una grande influenza su di lui: « L’ethnologie
américaniste où Paul Rivet me fit entrer et guida mes premiers pas présente
cette heureuse particularité que le spécialiste s’y trouve tout naturellement
engagé à relier incessamment le présent et le passé. Dès lors qu’on étudie
les Aztèques ou les Maya d’aujourd’hui, comment ne pas se tourner vers
ceux d’hier ? De l’ethnographie à l’archéologie, la transition est à la fois
18
Jacques Soustelle, Les quatre soleils, op. cit., p. 32.
insensible et nécessaire
19
». D’altronde, il contributo che l’archeologia può
dare alla ricostruzione storica di una civiltà antica è ormai noto a tutti. Le
ricerche archeologiche effettuate sul Templo Mayor ( i cui resti sono stati
ritrovati nel febbraio del 1978 ) costituiscono, infatti, un contributo
fondamentale per la conoscenza della civiltà azteca. Daniel Lévine,
archeologo francese, specialista delle civiltà pre-ispaniche, che partecipò
tra il 1979 e il 1980 agli scavi del Templo Mayor di Mexico, era animato «
par le même intérêt et la même passion que le Professeur Soustelle... Son
intérêt pour les cultures mésoaméricaines et plus particulièrement pour
celle des Aztèques l’a amené a réaliser cette remarquable étude qui met en
parallèle l’histoire écrite des Aztèques et les vestiges archéologiques mis
au jour sur le Templo Mayor
20
». La passione, dunque, ha mosso
l’archeologo francese Lévine sulle orme degli Aztechi. Ma non solo la
passione, anche l’amore umanistico per la riscoperta delle antichità, tratto
comune oggi a tutti gli studiosi di archeologia classica. Ne sono una
conferma le parole di Henri Stierlin: « C’est l’aventure de ces hommes (
les Indiens de Mexico ) ayant évolué indépendamment de ceux de l’Ancien
Monde qui constitue le thème de cette étude: elle montre la prodigieuse
diversité des voies empruntées par l’humanité pour se hisser au niveau de
19
Ibid., pp. 32-33.
20
Daniel Lévine, Le grand Temple de Mexico, Artcom’, Paris, 1997, Préf. p. 9.
la Civilisation, pour échapper à un éphémère destin et marquer le temps au
moyen de ces jalons que nous essayons de lire aujourd’hui: les oeuvres
d’art. Tel est le rôle de ces chefs-d’oeuvre précolombiens grâce auxquels
des peuples oubliés retrouvent une voix et reprennent leur place dans le
concert des nations pour enrichir notre image de l’Homme
21
». L’Indiano di
Mexico, quindi, dopo aver fatto la sua apparizione nella cultura francese
sin dal XVI secolo, ed essere caduto nell’oblìo per qualche tempo, vi
ricompare non più nella veste di “ selvaggio ” o di “ oggetto misterioso ”,
ma nella sua dimensione di “ uomo-guerriero ”, rappresentante finale
dell’ultima grande civiltà mesoamericana: la civiltà Azteca. Umanesimo,
ritorno alla natura e all’incontaminato stato primitivo, curiosità, passione
per l’arte antica, desiderio di rivalsa nei confronti degli Inglesi, denuncia
dei crimini perpetrati dagli Spagnoli sugli Indiani di Mexico, o semplice
desiderio di viaggiare e scoprire realtà lontane e misteriose: sono sembrate
queste le direzioni principali seguite dagli etnologi, storiografi ed
archeologi francesi.
21
Henri Stierlin, L’art Aztèque et ses origines, Seuil, Paris, 1982, p. 12.