5
réalité sociale et scolaire dans tout son ensemble et que des résultats
opposés et négatifs par rapport à ceux préétablis ont souvent même
découlé en accentuant encore plus l’isolément et la discrimination de
l’handicapé à l’égard des autres élèves.
Le Ministère a donc décidé de les éliminer en insérant l’élève
handicapé dans les classes normales et un aide‐éducateur dans certaines
heures scolaires.
Cette tentative est toujours en acte, et elle est susceptible de
développements et d’involutions ultérieurs bien qu’elle a été le thème de
nombre de polémiques ; la dernière hypothèse serait sûrement grave
parce qu’elle irait entraver la socialisation et l’intégration des
handicapés, comme dans le passé, surtout partant du fait que l’insertion
scolaire n’est pas encore en pleine réalisation en Italie.
Pour sa part, le Ministère du Travail a promulgué une normative de
loi pour favoriser l’insertion professionnelle des citoyens handicapés ;
cela a été atteint même pour les pressions politiques et sociales des
handicapés ces dernières années qui ont rencontré beaucoup de
difficultés et de défiances pour une juste insertion professionnelle par
une certaine opinion publique mais qui ont rendu de domaine publique
une exigence très sentie et importante pour leur vie sociale.
L’handicapé veut être considéré, à plein titre, sur le même plan de
n’importe quel autre citoyen “normal” à travers tous les capacités et les
potentialités (de l’intellect, de récréation, de travail et physiques, même
si nécessairement limitée) par lesquelles il est en mesure de s’exprimer.
Dans la société hactuelle, il est donc indispensable qu’il y ait une
majeure prise de conscience éducative sur ce problème large et
complexe qui demande sensibilité, une préparation et une sérieuse
information (psychologique, pédagogique et même sanitaire) pour
aborder et accepter de façon naturele, simple et sans aucun
6
empêchement, l’integration de l’handicapé dans le contexte social et
civile.
Ce processus doit partir du milieu familial du sujet handicapé pour
être après soutenu par les structures publiques qui permettent
d’entamer et de devélopper sa socialisation jusqu’à la première enfance
(l’école maternelle et primaire et des centres ambulatoires pour la
réhabilitation physique).
L’introduction à mon étude se propose d’être une description
généralisée de la famille contemporanéenne sous l’aspect sociologique,
psychologique et pédagogique.
Ensuite, je vais décrire, comment il est originé et il arrive
habituellement, le processus d’orientation dans les noyaux familiaux
“normaux”, c’est‐à‐dire qu’ils n’ont pas des handicapés dans leur
structure, en déterminant les buts éducatifs, culturels et sociaux et en
cherchant à comprende comment l’orientation qui poursuit aujourd’hui
dans la phase de l’adolescence se déroule.
Je vais donc décrire plus largement la famille en tant que organisme
promotionnel d’orientation scolaire et professionnelle de l’handicapé,
notamment dans un point de vue pédagogique‐éducative ; c’est‐à‐dire
quoi on doit faire et comment on doit agir pour adresser et orienter
l’enfant d’abord et le garçon handicapé après, afin que la société réserve
le rôle auquel ils ont droit, en les faire justement participer activement
de tout ce qui se passe dans la communauté civile.
Je vais chercher à mettre en évidence les différentes attitudes qui
peuvent s’instaurer entre les membres dans un milieu familial “normal”
et dans une famille ayant un handicapé à son intérieur.
Avant tout, une orientation appropriée et consciente dans un milieu
domestique harmonieux et psychologiquement équilibré, doit conduiser
le fils handicapé à avoir des relations normales dans la famille et avec
7
ses contemporains afin, entre autres, de lui faire sentir ses déficits moins
que possible, en le mettant ainsi au même niveau social des frères et des
camarades.
De cette façon, on lui offre la chance d’arriver à une certaine
indépendance, qui est nécessaire et fondamentale surtout quand il sera
adulte et désireux d’une vie digne et possiblement autonome de la
famille et de toute forme d’assistance.
Ayant vécu dans un milieu familial avec des rapports sociaux sains,
stables et ouverts, l’handicapé pourra se former une propre famille et
travailler normalement ; en participant au développement socio‐
économique de la communauté, il vivra sereinement et il sera plus
motivé à s’améliorer et, encore plus, il pourra se considérer comme égal
aux autres citoyens parce qu’il a pu atteindre des buts existenciels et
humains comme toute autre personne, bien qu’il est désavantagé.
Dès lors, après avoir exposé plusieurs concepts d’orientation
professionnelle par la lecture de différents acteurs et en les référant, en
particulier, à la conception économique du travail, je me propose de
vérifier et d’analyser les modalités d’insertion de l’handicapé dans le
monde du travail.
En ce qui concerne le rôle et l’importance de la famille dans
l’orientation scolaire, je peux montrer aussi mon expérience d’étudiant
handicapé.
Dans la deuxième partie de mon étude, je vais chercher à arriver à
faire des propositions sur les nouvelles méthodes d’orientation du
noyau familial du point de vue soit scolaire soit professionnel, qui
peuvent être élaborées et formulées, en analysant même les
perspectives futures.
Il faut prendre en examen les difficultés culturelles, politiques,
sociales que l’on a rencontré dans le passé. Il faut chercher et trouver
8
des ressources et des nouvelles énergies par des opérateurs toujours
mieux préparés et de plus en plus conscients et sensibles à ces
problèmes qui puissent contribuer à surmonter toujours mieux les
difficultés remarquables qui existent dans ce domaine avec leurs
expériences et leurs suggestions.
Premièrement, ils doivent donner un aide positif à la famille surtout
du point de vue psychologiquement ; la formation d’education et
d’orientation pour la comunité domestique à l’avenir sera sans lui une
tâche très difficile à aborder et à résoudre, peut‐être voire pénible. Les
possibilités pédagogiques et d’orientation seront ainsi vraiment
facilitées pour les noyaux familiaux avec des enfants et des garçons
handicapés.
Dans les dernières décennies, configurée comme institution ou
comme groupe social, la famille moderne a fait l’objet de recherches et
d’études dans les pays industrialisés de l’ouest, aux États‐Unis et même
dans les pays de l’ouest européen.
Dans ce travail de recherche et d’analyse, je suis conscient des
difficultés que je devrais aborder dans la tentative de comprendre et
d’exposer la vastité et la complexité de problèmes qui se posent aux
éducateurs et aux opérateurs sociaux et politiques qui visent à la pleine
intégration de l’handicapé, qui veut et qui doit être considéré par la
communauté civile comme un citoyen comme tous les autres et avec les
mêmes droits et devoirs.
9
PREMIER CHAPITRE
1 LA FAMILLE VUE SOUS L’ASPECT SOCIOLOGIQUE
1.1 LA FAMILLE MODERNE
Le noyau familial de la société contemporanéenne est le résultat
d’une évolution complexe qui s’est vérifiée au cours des siècles jusqu’à
nos jours et qui est toujours en cours.
La famille est en effet une istitution qui est étroitement liée au type
de société. Elle s’identifiait ainsi dans la préhistoire avec tous les
groupes existants (clan, tribu, village). Ensuite, elle se différencia et se
restreignit en rapport à l’évolution de la même société comme un noyau
à soi jusqu’à, comment H. Maine
1
estime, elle perdit ses qualités
istitutionnelles de cellule primaire de la société pour devenir une simple
agrégation d’individu, fondée essentielement sur les rapports
d’affection et primaires qui sont liés à la réproduction biologique.
Selon plusieurs théories sociologiques, le noyau familial moderne
est donc distingué en tant que “sphère privée” et en tant que “groupe
d’acquisition”. La première caractéristique concerne l’évolution des
rapports entre la famille et la société, l’autre concernes les fonctions
intérieures de la famille hactuelle.
La famille moderne occidentale est liée au développement de la
société capitaliste. Pendant la féodalité, qui avait l’agricolture comme
fondement économique, le noyau familial est en effet “patriarcal”. Cette
caractéristique est distinguée soit par le surgissement et l’affirmation du
1
H. MAINE, (cité par P. Donati, Sociologia della famiglia, CLUEB (2
ème
Edit.),
Bologne, 1978, pag. 16).
10
capitalisme où la famille prémoderne a ses origines et qui est distinguée,
selon plusieurs auteurs, par deux modèles : “bourgeois” et “prolétaire”.
La famille moderne en tant que “groupe d’acquisition” naît et se
développe avec le passage à la deuxième phase du capitalisme moderne
prédominé par les grandes sociétés actionnaires, qui est reliée au
modèle de société industrielle avancée. La définition indique le modèle
familial prédominant, c’est‐à‐dire celui qui est présent davantage dans
les classes sociales d’une société déterminée.
La sociologie moderne fait référence à deux conceptions primaires
dans les études sur la famille : marxiste et structurelle‐fonctionnaliste.
Dans les pays socialistes, par exemple, il y a une conception de la
famille qui est reliée à la pensée et à la philosophie de Marx et de
Engels
2
, qui considèrent le noyau familial comme une superstructure
par rapport aux autres relations de production, c’est pourquoi son
développement se trouve dans les fonctions que la direction politique de
la société saura lui confier en accord avec les buts de l’égalité sociale et
de la productivité économique planifiée.
En Occident, il y a plutôt une large prédominance, même si très
critiquée, de la théorie structurelle‐fonctionnaliste dont le majeur
exponent est T. Parson
3
. En suivant les lignes générales de la pensée
sociologique de E. Durkheim
4
, le fonctionnalisme structurel a mis en
lumière les lois organiques d’évolution de la société moderne avec l’une
des ses théories qui est centrée, en particulier, sur la méritocratie.
Selon P. P. Donati, la famille est distinguée en tant que institution et
en tant que groupe social. En tant que institution sociale, elle est le
groupe domestique qui est observé dans l’optique de l’intégration du
système en tant qu’il est défini soit par les institutions politiques (le
2
F. ENGELS, (cité par P. Donati, oeuvre cité, pag. 29‐30).
3
T. PARSON, (cité par P. Donati, oeuvre cité, pag. 27).
4
E. DURKHEIM, (cité par P. Donati, oeuvre cité, pag. 28).
11
pouvoir législatif et exécutif) soit par les apparaux de l’Etat (justice,
école, administration, etc.) soit encore par le système économique qui
considère les familles comme un moment ou une façon de réproduction
de la force‐travail.
En tant que groupe social, elle est le groupe domestique vu en
partant de la façon vitale, c’est‐à‐dire tel qu’il est donné dans les
structures intersubjectives dans la vie de tous les jours qui ne coincïdent
généralement qu’en partie avec les attentes du système politique ou
avec la normative juridique‐institutionnelle de la société, ou même avec
les demandes du système économique.
Pour la sociologie, donc, la famille est vue et étudiée le plus souvent
en tant que phénomène social total.
J’ai affirmé que deux modèles de famille ont surgi jusqu’à la société
paleo‐industrielle : la famille “bourgeoise” et la famille “prolétaire”, dans
lesquelles il y a deux types de solidarité.
Dans la famille bourgeoise, la solidarité est fondée sur la recherche
de l’accumulation et du profit économique et l’édification d’une dynastie
industriele. Dans la famile prolétaire, la solidarité est surtout
l’expression de collaboration et d’affection contre les difficultés d’une
vie quotidienne qui pose des problèmes de plus en plus grands à
résoudre.
On a fait d’autres recherches qui sortent de ces deux grands
schémas (marxiste et structurelle‐fonctionnaliste).
De ces études il ressort premièrement le refus de la famille à
restreindre les rapports interpersonnels, c’est‐à‐dire à devenir de plus
en plus privée. Ces recherches indiquent en outre comment il y a
aujourd’hui le besoin d’une famille conçue comme une agence
d’orientation pour le développement de la vocation personnelle des fils.
12
Les nouvelles théories de la socialisation mettent en évidence
l’aspect irremplaçable du noyau familial en tant que agence de
socialisation primaire où la privation soit de la mère soit du père a des
conséquences lourdes pour la formation et pour le développement
personnel et social de l’enfant (Ardigò
5
).
Même les rapports entre la famille et le travail (une majeure
division du travail, une activité de travail pour tous les deux parents,
plus de temps libre) changent et se différencient avec cette évolution
sociologique.
Il y a toujours des différents niveaux existenciels dans la famille
contemporanéenne qui aident à former et à développer la solidarité
familiale par des rapports humains (niveau biologique, psychologique,
économique, social et culturel).
Dans les dernières trente années, en Italie, la famille a subi une
profonde transformation qui a suivi le développement capitaliste et
industrial de la société. Cette dernière a changé le contexte économique,
social et cultural du Pays.
On a passé d’un modèle essentiellement agraire de la famille
patriarcale paysane jusqu’aux années ’50 pour arriver, pendant les
dernières décennies, à une société industrielle avancée avec un modèle
nucléaire de classes moyennes et basses en passant, cependant, du
modèle nucléaire ouvrier dans la phase intermoyenne.
Les modèles prédominants pour les types de société agraire, paléo‐
industrielle et industrielle avancée sont : résidentiel, bourgeois et
technocratique. Ce dernier se structure pendant les années ’70 avec le
développement continu du secteur tertiaire (transports, commerce,
crédit, administration publique, informatique, publicité) commencé
5
A. ARDIGÒ, 1968; J. HABERMAS, 1969 (cités par P. Donati, oeuvre citée, pag.
40‐41).
13
pendant les deux décennies précédentes à travers les processus
d’accumulation capitaliste. Il y a des inégalités sociales même dans ce
dernier technocratique comme dans le deux précédents en tant qu’il est
lié à eux.
Dans cette dynamique, on est en train de commencer à déléguer
toujours plus à l’Etat des fonctions et des problèmes qui n’étaient
autrefois une tâche que de la famille. Il y a un rapport, au sujet des
changements du milieu familial italien, entre le changement des trois
structures indiquées ci‐dessous et la disparition continue de qualités
istitutionnelles par la famille.
Dans ses modèles prédominants dans tout type de société, la famille
perd les précédents caractères institutionnels en prenant d’autres, en
rapport à la nouvelle structure prédominante de la société.
Cependant, il y a une hypothèse différente de cette‐ci : la famille de
la société capitaliste peut devenir une unité de services primaires ;
premièrement, cela signifie que le noyau familial est considéré surtout
comme un lieu de réproduction primaire de la vie dans un contexte de
rapports sociaux ouverts entre la famille et la collectivité.
La famille est considérée dans son intérieur non seulement comme
un soutien affectif, mais comme un milieu d’aide et de soutien mutuels.
La famille est considérée de l’extérieur comme un sujet de services
sociaux avec des importantes dépenses économiques et avec des
dysfonctions croissantes, et surtout comme une institutionnalisation des
couches plus faibles de la population (désadaptés, handicapés, malades,
âgés, etc..).
Un Etat moderne de sûreté social doit donc reconnaître et légitimer
la famille comme une structure de réciprocité qui doit être réorganisée
même sous l’aspect économique en tant que domaine de distribution de
services.
14
1.2 L’ACQUISIVITÉ DE LA FAMILLE
Pour comprendre la génèse et la structure de la famille moderne, il
faut retourner un peu au concept d’acquisivité familiale ; l’expliquer et
l’analyser sous l’aspect social en le reliant et en le rapportant même aux
dynamiques et aux relations intérieures et extérieures du noyau familial
d’aujourd’hui.
Les sciences sociales entendent l’acquisivité en tant que présence
d’un facteur humain qui a contribué à faire progresser la société
capitaliste de production avec d’autres différents facteurs structuraux,
en lui donnant surtout une charge humaine orientée culturellement,
selon des rapports de pouvoir dans le domaine des rapports sociaux.
Ce facteur humain psycho‐culturel, ayant des différentes valeurs
symboliques et culturelles, est appelé “acquisivité”. Selon la théorie
structurelle‐fonctionnaliste de T. Parson
6
, elle doit être reliée à la famille
parce que le noyau familial est le premier stade fondamental de
développement vers l’organisation de la motivation subjective orientée.
La sociologie qui fait plutôt référence aux théorie de Max et de
Weber
7
, indique l’acquisivité en tant que motif bourgeois du profit et de
l’accumulation capitaliste. Après Weber, plusieurs chercheurs affirment
que l’énergie de propulsion du système social et productif au début de
l’accumulation capitaliste, est donnée et développée par un facteur
individuel charismatique et de renouvelement qui, même avec des noms
différents, qui entre lui aussi dans l’acquisivité.
Deux directions d’évaluation et de recherche ont surgi et se sont
développées dans la conception marxiste sur l’acquisivité.
6
T. PARSON, (cité par P. Donati, oeuvre citée, pag. 115).
7
MARX et WEBER, (cités par P. Donati, oeuvre citée, pag. 116).
15
D’un côté, certains chercheurs (Marx et Tawney
8
) ne la considèrent
que comment un motif individualiste et d’appropriation en tant que
point de départ de l’exploitation productif et économique. De l’autre,
d’autres chercheurs (Weber, McClelland, Marshall, Schumpeter
9
) ont la
tendance à séparer l’orientation utilitariste et subjective des fonctions
socio‐personnelles que l’acquisivité déroule comme énergie nécessaire à
l’évolution de la société et de la personnalité.
Selon plusieurs théories sociologiques contemporanéennes, les
différents courants de l’activité sociale se perdent dans beaucoup de
canaux constitués par les intérêts privés individuels qui font partie de la
société.
La socialisation est aujourd’hui considérée le plus souvent comme
une recherche des problèmes que d’abord la famille et après l’école
rencontrent comme des sous‐systèmes d’une société acquisitive qui
délégue à elles l’orientation pour les nouveaux composants de la société.
Partant de l’enfance jusqu’à arriver à la réalisation des buts donnés
par la division capitaliste du travail, on arrive de cette façon à acquérir
des capacités acquisitives appropriées pour constituer et pour améliorer
l’adaptation au milieu extérieur.
Une fois que l’acquisivité est insérée dans le développement de la
société industrielle moderne, elle est constituée par un processus de
socialisation ayant dans la famille orientative la première et principale
institution sociale, surtout pour l’importance de l’éducation dans la
première enfance pour la formation individuelle de l’enfant. Le système
social dirige généralement ses processus à travers la canalisation des
motivations vers tous les valeurs et les idéologies qui correspondent à
8
MARX et TAWNEY, (cités par P. Donati, oeuvre citée, pag. 117).
9
MCCLELLAND, MARSHALL, SCHUMPETER, (cités par P. Donati, oeuvre citée,
pag. 122).
16
son système culturel, et le noyau familial est le premier agent de
socialisation.
Ce sont deux les macroprocessus de rélations entre l’être humain et
la société qui font l’objet de médiation par la famille : d’un côté, le
comportement adulte est très influencé par les modèles relationnels que
les composants d’une société ont trouvé et jugé positifs dans leur noyau
familial ; de l’autre, l’apparition de nouvelles tensions dans la société, est
la cause plus probable de changements de l’expérience et des
vicissitudes des enfants.
Dans ce contexte, l’acquisivité nécessite d’une certaine stabilité des
rôles familiaux, des valeurs et des modèles parentaux, de façon à
permettre à la réalité sociale de pénétrer dans la famille en apportant
des nouvelles attitudes, des énergies et des tensions afin que la
socialisation acquisitive soit orientée vers la juste direction.
Premièrement, il faut donc tenir compte de la structure psycho‐
sociale des relations familiales (quand, de quelle façon, où, etc..),
comment ces rapports arrivent et comment il subissent l’influence du
milieu extérieur, pour arriver à une acquisivité conforme aux exigences
familiales de notre complexe société technologiquement, culturellement
et socialement avancée.
On doit après considérer le système culturel et éducatif de
l’acquisivité qui existe dans la famille et qui détermine les processus de
socialisation des fils. On doit enfin considérer et déterminer aussi les
variables proprement sociologiques pour comprendre comment elles
puissent influer sur l’acquisivité des interactions familiales avec laquelle
l’enfant est socialisé.
Certaines variables, par exemple, peuvent être la classe sociale de
la famille ; les attentes et les aspirations pour la réussite sociale ; les
opportunités de départ pour l’acquisition de certains buts pour les fils ;
17
la réussite sociale du chef de la famille ; les techniques d’éducation pour
les fils, qui sont permissives, autoritaires ou apathiques selon la classe
sociale de la famille ; la réussite scolaire des parents qui influence celle
des fils, en déterminant même le status familial et leur socialisation
acquisitive.
Dans ce contexte, l’acquisivité nécessite d’une stabilité des rôles
familiaux, des valeurs et des modèles parentaux, de façon à permettre à
la réalité sociale de pénetrer dans la famille en entraînant des nouvelles
attitudes, plusieurs énergies et des tensions afin que la socialisation
acquisitive soit orientée dans la juste direction. Pour arriver donc à une
acquisivité conforme aux exigences familiales de notre complexe société
technologiquement, culturellement et socialement avancée, il faut tout
d’abord prendre en examen la structure psycho‐sociale des relations
familiales (quand, de quelle façon, où, etc.. ces rapports se vérifient et
comment ils subissent l’influence du milieu extérieur).
On doit après considérer le système culturel et d’éducation de
l’acquisivité qui existe dans la famille et qui détermine les processus de
socialisation des fils. On doit même considérer et déterminer enfin les
variables proprement sociologiques pour comprendre comment elles
peuvent avoir une influence sur l’acquisivité des interactions familiales
avec lesquelles l’enfant est socialisé. Certaines variables, par exemple,
peuvent être la classe sociale de la famille ; les attentes et les aspirations
pour la réussite sociale ; les opportunités de départ pour l’acquisition de
certains buts pour les fils ; la réussite sociale du chef de la famille ; les
diversités techniques d’éducation des fils, permissives ou autoritaires
selon la classe sociale de la famille ; la réussite scolaire des parents qui
influence celle des fils, en déterminant aussi le status familial et leur
socialisation acquisitive.