Politics, Entrepreneurship and Economic Growth. A global analysis on the impact of country-level public policies

2 (63) Alessandro Niccolò Tirapani Politics, Entrepreneurship and Economic Growth ABSTRACT Entrepreneurship has been considered, since more than 150 years, the “raw material” needed by a capitalist system to develop and grow. The individual initiative, anyway, have encountered different settings and regulations, as the democratic systems developed a more and more complex web of legislations. Consequently, academic literature have been arguing that lower bureaucracy leads to higher levels of entrepreneurship, which in turns causes economic growth. Since the Regan-Thatcher revolution, public policies are expected to go more and more liberal: but, does countries with lower bureaucracy actually experience more individuals‟ entrepreneurial activity? If yes, which policies are actually relevant? Posing these questions, in this thesis I gather global data from the Global Entrepreneurship Monitor (GEM), comparing the Total Early-Stage Entrepreneurial Activity scores (TEA) with the ease of doing business, the latter taken from the World Bank Doing Business Report (WBDB). Using both 2010 and 2008-2010 TEA data for 31 countries, I find that entrepreneurship is more present in countries whose specific public policies are more efficient and less expensive; easier procedures to register a property, higher protection of investors, lower minimum capital requirement to start a business, lower total fiscal pressure and lower cost to close a business, are the main factors leading to higher entrepreneurial levels. L‟entreprenariat a toujours été considéré comme étant le «matériel brut» auquel un système capitaliste a besoin pour se développer et grandir, mais les initiatives individuelles ont rencontrés plusieurs empêchements au fur et à mesure que les systèmes démocratiques développaient de nouvelles législations. En conséquence, des écrits académiques ont avancés l‟hypothèse qu‟une bureaucratie légère conduits à un haut niveau d‟entreprenariat amenant ainsi une croissance économique. Mais est-ce qu‟un pays avec une petite administration voit réellement une monté de l‟entreprenariat individuelle? Et si oui, quelles politiques sont réellement pertinentes? Après avoir posé ces questions j‟ai rassemblé dans ce mémoire des données du GEM, et spécifiquement les chiffres du TEA, et je ai compare cette avec le données sur la facilité de faire des affaires à partir du WBDB. Utilisant à la fois les donnés du TEA de 2010 et 2008-2010 pour 31 pays, j‟ai trouvé que les facteurs principaux conduisant à un plus haut niveau d‟entreprenariat se retrouvent dans des pays avec procédures d‟enregistrement de propriété plus facile, plus haute protection des investisseurs, un capital minimum plus bas demandé pour commencer une entreprise, une pression fiscale plus basse et un coût moindre lors de la fermeture de l‟entreprise. L’Amor che move il Sole e l’altre Stelle (Dante Alighieri, Paradiso XXXIII, 145)